MARATHON des SABLES 2005

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Cyrille Mitsler remet le chèque à Michel Schmitt, responsable du pôle de l'hôpital d'enfants.   Photo Christopher COURTOIS « Ce n'était pas évident au départ, mais aujourd'hui je suis vraiment satisfait ». Cyrille Mitsler peut être fier de lui. Sa participation au Marathon des Sables 2005 aura profité à l'hôpital d'enfants de Brabois. Sponsorisé par des enseignes et des équipes sportives nancéiennes, Cyrille a eu la brillante idée de récolter des fonds pour « ceux qui n'ont plus la santé », selon ses propres termes. Une démarche qui a pourtant été délicate au premier abord : « Ce don que je voulais faire à l'hôpital, c'est mon initiative et j'ai eu pas mal de difficultés. Sur 150 dossiers envoyés pour être soutenu, je n'ai reçu que très peu de réponses ». C'est pourtant un chèque de 3000 euros qui a été remis hier après-midi à Michel Schmitt, professeur de chirurgie viscérale et responsable du pôle hôpital d'enfants. « Vers la période de noël, ce chèque sera échangé en bons cadeaux, pour acheter des jouets aux petits qui sont hospitalisés. On peut également leur offrir un cadeau pour leur anniversaire »,.... *** Local Caption *** 20052005/NCY06

Cyrille Mitsler remet le chèque à Michel Schmitt, responsable du pôle de l’hôpital d’enfants.
« Ce n’était pas évident au départ, mais aujourd’hui je suis vraiment satisfait ». Cyrille Mitsler peut être fier de lui. Sa participation au Marathon des Sables 2005 aura profité à l’hôpital d’enfants de Brabois.
Sponsorisé par des enseignes et des équipes sportives nancéiennes, Cyrille a eu la brillante idée de récolter des fonds pour « ceux qui n’ont plus la santé », selon ses propres termes. Une démarche qui a pourtant été délicate au premier abord : « Ce don que je voulais faire à l’hôpital, c’est mon initiative et j’ai eu pas mal de difficultés. Sur 150 dossiers envoyés pour être soutenu, je n’ai reçu que très peu de réponses ».
C’est pourtant un chèque de 3000 euros qui a été remis hier après-midi à Michel Schmitt, professeur de chirurgie viscérale et responsable du pôle hôpital d’enfants. « Vers la période de noël, ce chèque sera échangé en bons cadeaux, pour acheter des jouets aux petits qui sont hospitalisés. On peut également leur offrir un cadeau pour leur anniversaire »,….

Une médaille pour Brabois.     Photo Pierre MATHIS Le sable, les cailloux, la chaleur, les tempêtes, rien ne l'a découragé. Du 8 au 18 avril Cyrille Mitsler a participé au « Marathon des Sables » avec un but : venir en aide aux enfants de l'hôpital de Brabois à Vandoeuvre Le coureur sponsorisé par une vingtaine d'entreprises et de professionnels de la santé est arrivé 241e au classement : « Le plus important n'est pas d'être dans les trois premiers, ma plus grande victoire est ma médaille ». Malgré une blessure au pied, à aucun moment il n'a songé à abandonner. « Ma seule peur était de terminer hors des délais ou de me faire arrêter par les médecins s'ils jugeaient qu'il devenait dangereux de continuer ». Dès son arrivée, la volonté aidant, il s'est rétabli et a pu prendre le départ de la course. Le parcours se composait de six étapes émaillées de pierres tranchantes, 47° à l'ombre... Son seul soutien dans le désert : les mails de ses proches, quelques rares appels téléphoniques, les fax et l'ambiance chaleureuse et humaine qui régna.... *** Local Caption *** 20042005/NCY05

Une médaille pour Brabois.
Le sable, les cailloux, la chaleur, les tempêtes, rien ne l’a découragé. Du 8 au 18 avril Cyrille Mitsler a participé au « Marathon des Sables » avec un but : venir en aide aux enfants de l’hôpital de Brabois à Vandoeuvre
Le coureur sponsorisé par une vingtaine d’entreprises et de professionnels de la santé est arrivé 241e au classement : « Le plus important n’est pas d’être dans les trois premiers, ma plus grande victoire est ma médaille ».
Malgré une blessure au pied, à aucun moment il n’a songé à abandonner. « Ma seule peur était de terminer hors des délais ou de me faire arrêter par les médecins s’ils jugeaient qu’il devenait dangereux de continuer ». Dès son arrivée, la volonté aidant, il s’est rétabli et a pu prendre le départ de la course. Le parcours se composait de six étapes émaillées de pierres tranchantes, 47° à l’ombre… Son seul soutien dans le désert : les mails de ses proches, quelques rares appels téléphoniques, les fax et l’ambiance chaleureuse et humaine qui régna….